Wednesday, May 09, 2007

Après l'élection présidentielle

Le goût que j'ai dans le corps est quelque chose comme une assurance, sur l'à-faire maintenant. Le travail tranquille de l'opposition. De la création, et le frayage quotidien de ses possibles.

analyse et création.

une coopérative d'analyse -- et d'information. (le travail critique d'information, à faire! Et l'état de la presse maintenant, comme celle des syndicats : ces forces du collectif - du public - affaiblies). Une coopérative d'information.

Le tout encadré dans l'ici et maintenant, cela s'entend.

Il faut commencer par lire Sarkozy de plus près ; par reprendre l'histoire de Save British Science ; par établir les premiers canaux de lecture d'information et d'analyse.


La question semble être, centralement : où est le public ; son milieu plastique et fin. Ni les mondanités, ni le professionnel, ni le syndical (j'ai du mal avec ce deuil), ni l'institutionnel, ni le groupe politique (j'ai du mal avec ce deuil -- so counterintuitive). A peine l'espace de l'enseignement, de la direction de recherche ; à peine dans le rapport de travail critique. Reste la lecture l'écriture.
Je me trouve à tourner régulièrement vers Deleuze et Guattari ; souvent je crois que, là où j'avance, des idées rencontrées chez eux se branchent et deviennent mobiles, signifiantes. La critique du groupe. Et ce qu'elle dégage de possible (ah, mais il faudra dire "virtuel", alors? - something knotted here).

Politique intime.
Cet intime-là est tout à fait autre chose que le privé. C'est cet autre plan, d'un non-personnel de l'individu, qu'il faut sentir, et parcourir.
Ici aussi D&G.

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