Wednesday, November 08, 2006

Après l'Amérique l'Inde

Des repères pour prendre le fil d'une entrée dans l'Inde. L'inde importe, elle est une force d'à-venir massive, on est devant comme Tocqueville et sa "terreur religieuse" devant l' "avenir" de la démocratie, déferlant depuis l'Amérique.
Ici aussi - comme pour l'Amérique ; comme pour la globalization ; comme pour l'anglais comme pôle de la géopolitique des langues - un angliciste est bien placé, sur la route d'une déferlante. Même si j'apprends que ce chiffre : 3% (seulement) des Indiens parlent anglais (avec 25% d'analphabétisme des adultes, dont 45% pour les femmes). L'Inde est sa propre puissance de géographie humaine ; elle est aussi celle de la post-colonialité, celle de l'histoire du Tiers Monde comme ligne de fuite de la Guerre Froide. Elle est l'une des forces déterminantes dans mon présent politique, et ce vers quoi je vais.

Pavan K. Varma, Le Défi indien. Pourquoi le XXIe siècle sera le siècle de l'Inde. Actes Sud, 2006. J'imagine que c'est : Being Indian. Inside the real India, London, William Heinemann, 2005. (Difficile de trouver un catalogue national indien en anglais sur internet.)

Sites journalistes (/ blogs - à noter aussi, qu'aux Etats-Unis le blog est un lieu important du débat politique maintenant) :

Des sites pour la "vie des peuples" (Saussure, et Tocqueville) ? :

Je note donc que tous sont sur Blogger, et comme Letter from America dans la mouvance de Google. Et je note ma source, Sushmita Sarmah dans le dossier sur l'Inde de Télérama, n° 2958, 20 sept. 2006). Comme la New York Review of Books - plus modestement, plus magazinement, moins on point - Télérama m'importe pour sa participation au tissu de discours où se forme la culture. C'est comme ça que. Je regarde son travail. Leur.

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